L’opéra des débuts
L’opéra romantique commence au début du XIXe siècle. Son oeuvre la plus emblématique est le Barbier de Séville de Rossini.
Si vous appréciez, tournez-vous vers :
- le reste des oeuvres de Rossini,
- Bellini,
- Donizetti,
- Cherubini,
- Spontini,
- Weber,
- l’opéra des grandes fresques,
- les opérettes.
L’opéra des grandes fresques
Cette période, extrêmement féconde, englobe autant La Traviata que Tannhäuser que Carmen.
Si vous appréciez, tournez-vous vers :
- le reste des oeuvres de Verdi,
- Wagner,
- Bizet,
- Meyerbeer,
- Gounod,
- Tchaïkovsky.
Les opérettes
Le goût pour des pièces légères et entraînantes a conduit au développement du genre opérette, surtout à Paris et à Vienne. Elles sont principalement l’oeuvre de Johann Strauss fils et d’Offenbach.
La fin du XIXe siècle : post-romantisme et chromatisme
Les compositeurs commencent à explorer de nouvelles voies aux frontières de la tonalité, et la musique commence à prendre le chemin du modernisme. On trouve donc dans le post-romantisme les précurseurs de Debussy, Ravel, autant que le romantisme le plus exacerbé, pour être positif. Pour être mauvaise langue, on peut aussi y trouver bon nombre d’oeuvres dégoulinantes de mièvrerie.
Si vous appréciez, tournez-vous vers :
- Wagner à partir des Maîtres-Chanteurs,
- Otello et Falstaff de Verdi,
- Puccini, Leoncavallo, Mascagni,
- Massenet, Saint-Saëns, Chabrier, Chausson,
- Moussorgski.
Sources
BRISSON, Elisabeth, La musique, Editions Belin, 1993
VIGNAL, Marc, Dictionnaire de la musique, Editions Larousse, 2011
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